samedi 17 février 2018

Retour à Rodez

Je m’arrête travailler à Rodez deux semaines ; mon séjour coïncide avec la vague de froid qui s’installe sur le pays.

Le centre ancien est posé à 600 mètres d’altitude au sommet d’une colline. La cathédrale Notre-Dame est ainsi visible de très loin ; silhouette reconnaissable avec son clocher haut de 85 mètres et ses deux tours inégales qui surplombent la place d’armes.

clocher surmonté de la statue de la vierge

vitraux modernes...




A l’ouest l’avenue Victor Hugo mène au Foirail, totalement réaménagée en 2013 autour du multiplexe et du musée Soulage, l’enfant du pays.

musée Soulage ; pour les amateurs d'art contemporain


A l’est de la cathédrale commence le dédale des ruelles pavées du Vieux-Rodez, où des boutiques modernes occupent les rez-de-chaussée des vieilles demeures médiévales.


vestige des remaprts

Vieux-Rodez...


couteaux Laguiole ; l'Aubrac n'est pas très loin



Depuis le Palais de Justice la vue plonge sur l’Aveyron et plus au sud sur les hauts-bocages.

palais de justice

vue de la colline depuis l'Aveyron



Côté nord l’église du Sacré-cœur semble dominer les Monts Aubrac complètement blancs.

Aubrac

église du sacré-coeur


Les gros épisodes neigeux, comme celui de 2006 où un mètre de neige avait paralysé l’économie de la région, sont devenus rares à Rodez.
Mais les quelques flocons tombés pendant la quinzaine ont donné à la capitale ruthène une agréable photogénie.









La ville de Pigüe en Argentine avait une "calle Rodez" ; c'est donc un juste retour des choses de trouver à Rodez une rue de Pigüe.



Mon logement est situé sur la colline, mais la brasserie où je travaille se trouve tout en bas, le long de la rocade. Mon temps de trajet est ainsi complètement différent entre l’aller tout schuss et le retour sur le petit plateau.

Mais ça permet de garder Paulo alerte pour la suite du voyage...  

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